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Archives de catégorie : écrits libres
Comment savoir si on est invisible
On ne peut pas se rendre compte qu’on est devenu invisible, sauf si… Lire la suite
Publié dans écrits libres, logorrhée, philosophie, réflexions
Tagué abysses, image, invisible, loupe, lunettes, mirer, miroir, rassurer, réfléchir, reconnaître, vampire
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Mémoire du passé et mémoire du futur
Entre les fantaisies de la mémoire et la difficulté à se rappeler ce qu’on a vécu dans le futur, pas facile d’avoir des souvenirs fiables. Lire la suite
Publié dans écrits libres, littérature, logorrhée, philosophie
Tagué événements, conditionnel, futur, mémoire, menteries, noter, passé, retenir, souvenirs, vécu
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Dieu me prend pour une pomme
Dieu, moi je dis qu’il nous prend pour des pommes. Pour preuve que, par exemple, tu prends le printemps pourri qu’on a eu, avec les prières qu’on a eu faites pour qu’il nous arrange ça et que l’été soit du vrai été, et quoi ? c’est la canicule, le burnou à essorer, plus le marcel, qu’il vaudra mieux pas attendre l’automne pour te le coller à la lessiveuse. Lire la suite
Publié dans écrits libres, littérature, réflexions, religions, idéologies, croyances
Tagué Allah, assomption, bistro, bon dieu, canicule, capote anglaise, cierges, Dédé, Dieu, garantie, hosties, Loto, pomme, poupée gonflable, PQ, rustine, Sainte vierge, télé, tronc
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TGV, zone psychiatrique et mariage pour tous
Le mariage pour tous, passés les apéros, on avait fini par tomber d’accord en se disant qu’on en avait rien à braire, et que ça allait rien changer à la recette des gonnasses aux blettes. Lire la suite
Publié dans actualités, écrits libres, moeurs, savoir vivre, société
Tagué démocratie, mariage, mariage pour tous, TGV, zone psychiatrique
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Un monde qui rétrécit
Revisitant les souvenirs de l’enfance, tout nous semble être devenu petit, trop petit, comme si ce qui nous environne avait rétréci. Lire la suite
Publié dans écrits libres, environnement, littérature, réflexions, sentiments, états d'âme
Tagué Amérique, années, aventures, échelle, bizarrerie, clarté, enfance, gants, grenier, pèlerinage, peau de chagrin, rabougri, rachitique, régime, rétréci, temps de vie, vérité, vision des choses
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Un grand, mais court voyage
Le désert, des bagages, un voyage, un but. Ultime ? Lire la suite
Publié dans écrits libres, Folie, littérature, sentiments, états d'âme, vivre et mourir
Tagué acte manqué, but, corde, culotte, ennui, errance, maladie mortelle, marché, miroir, mourir, pendre, serpent, solitude, tête, tête de linote, tête de veau ravigote, voyage
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Un voyageur immobile
Voyageur immobile, je bourlingue sans errance ni perte de temps à retrouver mes bagages, les remplir, les défaire, les refaire encore. / Je ne bouge pas, respire à peine, par crainte de créer le souffle d’un alizée naissant qui m’obligerait à embarquer. Lire la suite
Publié dans écrits libres, littérature, sentiments, états d'âme, voyages, carnets de voyages
Tagué alizée, Autan, bagages, dunes, errance, goélette, grain de sable, graine, naufrage, Simoun, souffle, tarmac, valises, vent, vivre, voyageur, voyageur immobile, zinc
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Catastrophe bordelaise
Pas loin de 20degrés. Je me verse quèques verres d’un rouquin mi-rouge, mi-Bordeaux, que ça ait le temps de s’épanouir. Le rouquin, c’est un peu comme les clébards ou les gosses, tu les tiens un temps pour les lâcher un autre, qu’ils prennent l’air. Lire la suite
Publié dans écrits libres, littérature, plouf!, savoir vivre, sentiments, états d'âme
Tagué Bordeaux, catastrophe, godet, hamac, horloge lunaire, horloge solaire, miroir, ondée, rouge, rouquin, sièste, soleil
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Atelier d’écriture créative
Atelier d’écriture créative entre Grenoble et Albertville, les 9 et 10 mars 2013 Lire la suite
Publié dans art et culture, écrits libres, littérature, nouvelles, contes, poésie
Tagué 10 mars, 9 mars, accords, Albertville, atelier d'écriture, atelier d'écriture créative, écriture, éthymologie, dialogue, expressions, futur, Grenoble, histoires, mots, paraphrase, présent, rédaction, sommaire
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Ecrire dans un café, à tous les temps, par tous les temps…
Écrire dans un café. Tel était le thème d’un article de Jean-Paul Galibert, il y a plusieurs semaines. J’avais griffoné deux petits commentaires titrés Ecrire DANS un café et Ecrire AU café. C’est dans ce plus ou moins droit fil … Lire la suite
Publié dans art et culture, écrits libres, littérature, réflexions
Tagué accident de circulation, Aspirine, à bâtons rompus, écrire, écriture automatique, brûle-pourpoint, café, droitier, en long en large et en travers, faute, feutre, fiel, fiel de boeuf, gaucher, gueuse, Jean-Paul Galibert, lettres bâton, miroir, papier, porte plume, pythie, sang, scripteur, stylo, stylo bille, volant, waterproof, Zorro
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Fait pas bon d’être pauvre en hiver
L’hiver, moi je dis que c’est pas fait pour les pauvres. Entre les fringues, la bagnole, le chauffage, c’est de la folie. T’as vu le prix du gaz ? Tu vas pas me dire qu’ils se foutent pas de la gueule du monde ? Lire la suite
Publié dans actualités, écrits libres, consommation, humour (décalé), littérature, Noël, quotidien, savoir vivre
Tagué avion, bagnole, batterie, bourdon, cadeaux, chauffage, Courchevel, hiver, homard, manteau, Noël, pauvres, Sancerre, ski
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Vote aux élections présidentielles : un choix cornélien
Je sais pas vous, pour qui vous allez voter, j’en sais pas plus pour moi, et je suis pas sûr que vous le sachiez pour moi, mais au cas où ce serait le contraire, soyez gentil de me le dire, ça peut m’encourager à faire la queue au bureau de vote ce dimanche qui vient, plutôt que de la faire au PMU, de toute façon y’a pas plus de chance que je gagne d’un côté que de l’autre. Lire la suite
Sur la valeur marchande d’un être humain
Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de vous vendre, mais ça n’est ni du gâteau, ni de la tarte, ni ce que vous voudrez, acheté avec vos petits sous à vous que vous aurez durement gagnés à la sueur de votre front ; à la sueur du front, des aisselles et des miches d’autrui si vos petits sous sont moins petits que ce que vous en contez au contrôleur des impôts Lire la suite
Publié dans écrits libres, consommation, littérature, plouf!, société
Tagué acheteur, acquéreur, ardoise, argent, argent comptant, étude de marché, être humain, chaland, consommation, consommer, consumation, demande, gausser, invendus, marchandise, marchandises, marché, négoce, offre, portefeuille, prix, produit, rapport qualité prix, recette, solde, transaction financière, TTC, valeur, valeur marchande, vendeur, vendre, vente
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11 novembre
La boue de novembre, y’a pas mieux comme habit du dimanche, même en semaine. Pas mieux question réalité. C’est pas que ce soit joli, non, mais quand tu l’enlèves à cause que si tu la laisses tu es tout salopé du haut en bas au moment fatidique, comme on dit, quand tu l’enlèves, tu vois les gens exactement comme ils sont. Sans la boue. Un mort nu, bien passé sous la douche, ça devient tout beau. Je veux dire tout vrai. Attention, hein, faut mettre la pression pour bien enlever les croûtes. Je dis douche, mais on fait ça au jet. Lire la suite
Publié dans allégorie, écrits libres, Folie, littérature, société, vivre et mourir
Tagué 11 novembre, Appolinaire, arme sur l'épaule, boue, chrysanthèmes, citoyennes, citoyens, coq, discours, disette, douleur, Grande querre, guerre, hostilités, ligne bleue des Vosges, ministères, mitraille, mort, nation, novembre, pain quotidien, patates, poème, poète, poilus, rats, taxis, tranchées, va-t-en guerre, vermine, Wilhelm
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Un texte qui s’émancipe… Et puis quoi encore ?
Alors que j’écrivais mon article du 30 du mois passé, donc juillet, mon texte s’est mis à faire des siennes et s’est pris l’envie, comme ça, sans prévenir, de s’éprendre de liberté. Je ne suis pas contre la liberté, surtout … Lire la suite
Publié dans écrits libres, littérature, logorrhée, Uncategorized
Tagué 30 juillet, article, écran, espaces, italique, langue étrangère, liberté, ligne, marge, mots, paragraphe, parenthèses, pensée, ponctuations, Tüpøtegrathai, texte
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Plusieurs cordes à mon arc ?
Plusieurs cordes à son arc ! Plus débile que cette expression, faut chercher loin, profond ou très haut, là où crèche le Très Haut.
Tirer une flèche avec un arc à une corde n’est pas tout à fait aussi difficile que le contraire, mais atteindre une cible est une autre paire de Channel, comme dit ma couturière qui s’y connaît plus en manches qu’en tennis. Mais tirer une flèche avec un arc qui possède plusieurs cordes procède d’un procédé à la con. Lire la suite
Publié dans allégorie, écrits libres, littérature, sport
Tagué arc, avoir plusieurs cordes à son arc, cible, flèche, mandoline, projectiles, raquette de neige, rasuette
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CE QUE PIERRE C. J. VAISSIERE ECRIRA PEUT-ETRE 